On dirait que la CI commence à se culpabiliser, ne fût-ce verbalement, de son laisser-faire
devant les violations graves de la dictature en place !
L'UE et la Monusco ont enfin levé la voix devant le muselement violent de la liberté
d'expression et de manifestation à l'occasion de la répression policière illégale
des marcheurs du 16 février !