Le Blog de Sacrebopol

Mbuta Mashakado est décédé, mercredi 22 juin, à Johannesburg

Mbuta Mashakado est décédé, mercredi 22 juin, à Johannesburg

juin 23, 2011, 

Extrait de la revue de presse. Les Dépêches de Brazzaville ont reçu la confirmation de la triste nouvelle, mercredi 22 juin, en fin de matinée par Nyoka Longo, son ancien compagnon de Zaïko Langa Langa. Joint au téléphone par Les Dépêches de Brazzaville, le patron de l’orchestre du cinquantenaire a affirmé que Mbuta Mashakado « est décédé à 4 heures du matin à Johannesburg ». L’information venue de la métropole de l’Afrique du Sud a fait le tour de Kinshasa en matinée.

Prise avec beaucoup de réserves par de nombreux mélomanes, elle était sujette à plusieurs controverses. En effet, d’aucuns se sont souvenus qu’au lendemain des obsèques de Bimi Ombale, un autre des anciens sociétaires de Zaïko, une rumeur annonçant sa mort s’était répandue comme une traînée de poudre à travers la capitale.

Visiblement affecté par ce nouveau décès, Jossart Nyoka Longo ne s’est pas étendu sur le sujet. Nul doute qu’à quelques heures de ce triste évènement, il est trop tôt pour parler d’un programme des funérailles de Mbuta Mashakado. Néanmoins, il est certain qu’elles auront lieu à Kinshasa dans les jours à venir, à la suite du rapatriement de la dépouille, croit savoir le quotidien de Brazzaville.

De son vrai nom Dieudonné-Samuel Mpoyo Nzolantima, Mbuta Mashakado s’était éclipsé du paysage musical depuis quelques années. Il s’illustrait désormais dans l’univers politique. Jusqu’à sa mort, il occupait le poste de président interfédéral du Mouvement du peuple congolais pour la République (MPCR) au niveau de la ville de Kinshasa.

Le président national de ce parti, Jean-Claude Vuemba Luzamba, a fait part aux Dépêches de Brazzaville de sa décision d’écourter son séjour parisien suite à ce décès. Joint au téléphone, il a déclaré : « C’est une grande peine. Je suis en pleine tournée euro américaine mais je vais rentrer samedi à Kinshasa. » Bien plus encore, a-t-il souligné : « C’est une part de notre jeunesse qui s’en est allée avec cette nouvelle perte. Après le décès de Bimi survenu dernièrement, nous commençons à devenir orphelins de notre jeunesse. »

Sur les circonstances de la mort de l’illustre disparu, Jean-Claude Vuemba a affirmé à la même source: « Yaya Mbuta Mashakado a beaucoup souffert. Il a été transféré en Afrique du Sud il y a à peine dix jours ». Et d’ajouter : « Il laisse une famille nombreuse, dont ses amis du MPCR. »

http://radiookapi.net/emissions-audio/2011/06/23/mbuta-mashakado-est-decede-mercredi-22-juin-a-johannesburg/

 

 

Le chanteur Mbuta Mashakado est décédé
 
mercredi 22 juin 2011 Botowamungu Kalome (AEM)

« Bimi Ombale et moi avons compris que nos destins étaient liés », le chanteur Mbuta Mashakado ne croyait pas si bien dire en réaction à la mort de Mwana Wabi dans une interview accordée à Afriqu’Échos : 40 jours plus tard, il a rejoint son ami et collègue de Zaïko Langa Langa dans l’au-delà. C’est ce mercredi 22 juin, à 3 heures du matin, que « Yaya Brown » a rendu l’âme sur un lit d’hôpital en Afrique du Sud. Prémonition ou juste une phrase lâchée comme ça, Mashakado aura quitté la scène, toutes les scènes, sur une sorte de facétie qui tranche avec celles, nombreuses, qui émaillaient ses prestations scéniques de folie. Malgré l’optimisme qu’il avait affiché dans cette interview, la maladie a eu raison d’une des plus grandes bêtes de scène que la musique congolaise ait connue.

Mbuta Mashakado n’a pas connu véritablement une grosse carrière, mais une carrière marquée par des coups d’éclats sur scène et dans la vie des deux orchestres avec lesquels il a brillé : Zaïko Langa Langa et Yoka Lokole créé par les dissidents du premier cité. Dans Zaïko Langa Langa, outre sa voix très remarquée dans « Elo » (sans doute le plus grand tube de cet orchestre), une de ses prestations scéniques télévisées dans la chanson « Beli Mashakado » reste une pièce d’anthologie. Son tempérament explosif sur scène a, des tous temps, épousé très bien le caractère bien trempé de ce chanteur. Plus tard, Papa Wemba en fera les frais en se faisant congédier sans égards par Mashakado avant que lui-même ne quitte le groupe et de remonter un jour sur scène pour annoncer son retour « Na canaille kaka », traduisez : «  Je reviens et je vous emmerde ».

Après de nouvelles déconvenues avec Yoka Lokole qui a sombré après le départ de Papa Wemba, Mbuta Mashakado va gagner l’Europe pour des études. Il retournera à Kinshasa, en 1988, avec des compétences en électricité et dans le froid. Le chanteur demande alors à réintégrer Zaïko Langa Langa mais les administrateurs lui demandent de formaliser sa demande par écrit. Pour Yaya Brown, ça serait une humiliation qu’il refuse. Lorsque l’orchestre connaît une dissidence, il va choisir le camp de Zaïko Familia Dei avec Bimi Ombale et Pablo notamment.

Le dernier numéro spectaculaire de Mbuta Mashakado

Dans une conversation que nous avions eue à son retour, Mbuta Mashakado promit de démontrer qu’il n’avait rien perdu de son talent. Et le showman tiendra parole le jour de la sortie officielle de Familia Dei à l’Hôtel Intercontinental. L’orchestre était en train de jouer la dernière chanson sur une scène d’environ 80 cm de hauteur. Le chanteur se laisse aller à une partie de danse tonitruante, patinant, tournant sur lui-même et sautillant… Bimi Ombale et JP Buse qui ont peur de prendre des coups de coude ou de pied arrêtent de danser, désertent leurs places et vont se placer sur les bords de la scène. Le chanteur, déchaîné, n’en a cure, il est dans son élément et ne s’en rend même pas compte. Lengi Lenga, qui s’en amuse, va faire une tape à Mashakado et lui proposer un duel. Les deux chanteurs se font face. Très bon danseur, Ya Lengos donne une leçon de danse à son collègue qui l’observe comme un félin. Passé ce temps d’observation, Yaya Brown va patiner à reculons jusqu’au bord de la scène, quand il revient en dansant vers Lengi Lenga, c’est un ouragan qui déboule, Mashakado danse avec une telle énergie que son partenaire quitte la scène en vitesse avec un grand éclat de rire… Toute la salle est debout, subjuguée, conquise ! C’est sur ce feu d’artifice que le concert s’arrêta.

Une demi-heure plus tard, Mbuta Mashakado, les mains dans les poches, regard pétillant, sourire facétieux s’avance vers moi essayant de m’arracher un compliment, je lui lance alors chaleureusement : «  Yaya Brown ! », dans un éclat de rire nous nous jetons l’un dans les bras de l’autre. Depuis, nos chemins ne se sont plus croisés jusqu’à cette interview d’il y a quarante jours avec Jossart Muanza à qui il demanda de me saluer très chaleureusement de sa part. Adieu l’Ami !|Botowamungu Kalome (AEM)

 
 
 

Photo de famille / Assis : Mbuta Mashakado, Ilo Pablo, avec son épouse à sa gauche ; debout : Gina Wa Gina, Nyoka Longo. Bimi Ombale et Manuaku Waku. Photo prise le mercredi 19 août 2010, à l’occasion des retrouvailles des anciens de Zaïko L.L. au restaurant Palais de la Gourmandise, le soir de la sortie de prison d’Evoloko Atshuamo.( © AEM/Zaïko L.L)

ZAIKO LANGA LANGA: Sec Emma raconte Mbuta Mashakado

vendredi 08 juillet 2011 AEM

 

 

Né à Kinshasa le 10 mars 1952, Mbuta Mashakado est un personnage qui aura gravé en lettres d’or les annales de la musique congolaise moderne. Durant sa carrière musicale, il a été à la fois auteur-compositeur, chorégraphe, arrangeur musical et éditeur (Patron des Éditions Mashakïko et Ayam). En dépit des interdictions familiales, et malgré un cursus scolaire ordinaire et brillant qui l’a conduit successivement à l’Athénée de Kalina, à l’Athénée de Saint-Jean, à Mbanza-Ngungu et à Nkamba, dans le Bas-Congo, séduit par l’art d’Orphée, Mbuta Mashakado a débuté son parcours musical en 1969 en qualité de chanteur pop de l’orchestre Zaïko Langa-Langa, contribuant, de ce fait, à asseoir le caractère international de la musique de cet ensemble musical. C’est ainsi qu’il n’hésitaient pas à quitter l’internat au Bas-Congo pour rejoindre ses camarades pour des prestations à Kinshasa, ce qui provoquait, très souvent, la colère de son défunt père, Adrien Nzolantima.

En 1974, après le départ de 4 grandes figures de Zaïko (Papa Wemba, Gina wa Gina, Evoloko Jocker et Mavuela Somo), Mashakado a été poussé, par ses pairs, vers la musique dite « typique » qu’il interpréta avec brio jusqu’en 1989.

Déclaré meilleur artiste de l’année par un jury de journalistes et chroniqueurs de musique congolais en 1976, il représentera le pays au Festival d’Art et de culture Nègre, FESTAC 77, à Lagos au Nigeria. À cette occasion, il a reçu plusieurs sollicitations pour débuter une carrière internationale qu’il a déclinées, parmi lesquelles celle de Fela Ranson Kuti. De 1976 à 1977, il évolue dans l’orchestre Yoka Lokole dont il fut l’un des fondateurs avant de revenir à ses premières amours, le Zaïko Langa-Langa en 1978. En 1981, il s’établit à Caen dans le Calvados en France où il évolue avec l’orchestre Mandinga et produit quelques albums avant de réintégrer son milieu naturel , le Zaïko Langa-Langa.

De 1981 à 1986, il suspendra sa carrière musicale afin de poursuivre une formation technique en électricité et froid, après avoir sollicité, auprès de ses pairs, une mise en disponibilité pour raison d’études. Rentré au pays, après un stage de mise à niveau à l’INPP, il mettra sur pied sa propre entreprise d’électricité et froid dénommée Froidel, laquelle subira malheureusement les affres des pillages de triste mémoire en 1992.

Lors de la dislocation de Zaïko en 1987, Mbuta Mashakado évolue dans Zaïko Familia Dei avec lequel il entreprend plusieurs tournées en Afrique et en Europe. En 1989, il se séparera de ses amis pour tenter une carrière solo. Il regagnera, en 1992, l’Europe où il entreprendra des travaux d’arrangement musical à Genève en Suisse puis à Paris en France et ensuite au Congo- Brazzaville. Ayant décidé de rompre avec le monde musical, Mbuta Mashakado mettra ses compétences au service de la Société Label Print en qualité de technicien et gravira les différents échelons jusqu’à occuper la fonction d’Administrateur Directeur Technique grâce à ses capacités techniques avérées.

Ayant reçu l’appel de Dieu, Mbuta se convertira totalement et consacrera le reste de sa vie à servir Dieu à sa manière après avoir suivi des enseignements approfondis. Au coucher de sa vie, Dieudonné Samuel Mboyo Nzolantima a été une personne totalement différente de celle que l’on a connue dans le milieu musical ; c’est pourquoi, sans doute, il a choisi la peinture comme moyen pour exprimer sa pensée.

Attiré par la politique, il adhère au Mouvement du Peuple Congolais pour la République, MPCR, où il exerce les fonctions de Président Interfédéral de la Ville Province de Kinshasa. On retiendra de Mbuta Mashakado qu’il fut non seulement un homme de culture et un grand artiste musicien, mais également un fervent chrétien et un homme équilibré qui n’a pas été emporté par le succès musical qu’il a connu. En effet, Mbuta Mashakado est le seul musicien congolais dont le nom a été donné à une danse, « Mashakado au pas, Mashakado sambuisa » et à une école secondaire de Kinshasa, l’« Institut Mashakado » actuellement « Institut Mantuid »i. La simplicité et la modestie qui ont caractérisé sa vie resteront un exemple pour les générations futures, particulièrement pour la famille nombreuse qu’il laisse. Une famille dont Maître Patrick Mpoyo Nzolantima est l’aîné. AEM

Né à Kinshasa le 10 mars 1952, Mbuta Mashakado est un personnage qui aura gravé en lettres d’or les annales de la musique congolaise moderne. Durant sa carrière musicale, il a été à la fois auteur-compositeur, chorégraphe, arrangeur musical et éditeur (Patron des Éditions Mashakïko et Ayam). En dépit des interdictions familiales, et malgré un cursus scolaire ordinaire et brillant qui l’a conduit successivement à l’Athénée de Kalina, à l’Athénée de Saint-Jean, à Mbanza-Ngungu et à Nkamba, dans le Bas-Congo, séduit par l’art d’Orphée, Mbuta Mashakado a débuté son parcours musical en 1969 en qualité de chanteur pop de l’orchestre Zaïko Langa-Langa, contribuant, de ce fait, à asseoir le caractère international de la musique de cet ensemble musical. C’est ainsi qu’il n’hésitaient pas à quitter l’internat au Bas-Congo pour rejoindre ses camarades pour des prestations à Kinshasa, ce qui provoquait, très souvent, la colère de son défunt père, Adrien Nzolantima.

En 1974, après le départ de 4 grandes figures de Zaïko (Papa Wemba, Gina wa Gina, Evoloko Jocker et Mavuela Somo), Mashakado a été poussé, par ses pairs, vers la musique dite « typique » qu’il interpréta avec brio jusqu’en 1989.

Déclaré meilleur artiste de l’année par un jury de journalistes et chroniqueurs de musique congolais en 1976, il représentera le pays au Festival d’Art et de culture Nègre, FESTAC 77, à Lagos au Nigeria. À cette occasion, il a reçu plusieurs sollicitations pour débuter une carrière internationale qu’il a déclinées, parmi lesquelles celle de Fela Ranson Kuti. De 1976 à 1977, il évolue dans l’orchestre Yoka Lokole dont il fut l’un des fondateurs avant de revenir à ses premières amours, le Zaïko Langa-Langa en 1978. En 1981, il s’établit à Caen dans le Calvados en France où il évolue avec l’orchestre Mandinga et produit quelques albums avant de réintégrer son milieu naturel , le Zaïko Langa-Langa.

De 1981 à 1986, il suspendra sa carrière musicale afin de poursuivre une formation technique en électricité et froid, après avoir sollicité, auprès de ses pairs, une mise en disponibilité pour raison d’études. Rentré au pays, après un stage de mise à niveau à l’INPP, il mettra sur pied sa propre entreprise d’électricité et froid dénommée Froidel, laquelle subira malheureusement les affres des pillages de triste mémoire en 1992.

Lors de la dislocation de Zaïko en 1987, Mbuta Mashakado évolue dans Zaïko Familia Dei avec lequel il entreprend plusieurs tournées en Afrique et en Europe. En 1989, il se séparera de ses amis pour tenter une carrière solo. Il regagnera, en 1992, l’Europe où il entreprendra des travaux d’arrangement musical à Genève en Suisse puis à Paris en France et ensuite au Congo- Brazzaville. Ayant décidé de rompre avec le monde musical, Mbuta Mashakado mettra ses compétences au service de la Société Label Print en qualité de technicien et gravira les différents échelons jusqu’à occuper la fonction d’Administrateur Directeur Technique grâce à ses capacités techniques avérées.

Ayant reçu l’appel de Dieu, Mbuta se convertira totalement et consacrera le reste de sa vie à servir Dieu à sa manière après avoir suivi des enseignements approfondis. Au coucher de sa vie, Dieudonné Samuel Mboyo Nzolantima a été une personne totalement différente de celle que l’on a connue dans le milieu musical ; c’est pourquoi, sans doute, il a choisi la peinture comme moyen pour exprimer sa pensée.

Attiré par la politique, il adhère au Mouvement du Peuple Congolais pour la République, MPCR, où il exerce les fonctions de Président Interfédéral de la Ville Province de Kinshasa. On retiendra de Mbuta Mashakado qu’il fut non seulement un homme de culture et un grand artiste musicien, mais également un fervent chrétien et un homme équilibré qui n’a pas été emporté par le succès musical qu’il a connu. En effet, Mbuta Mashakado est le seul musicien congolais dont le nom a été donné à une danse, « Mashakado au pas, Mashakado sambuisa » et à une école secondaire de Kinshasa, l’« Institut Mashakado » actuellement « Institut Mantuid »i. La simplicité et la modestie qui ont caractérisé sa vie resteront un exemple pour les générations futures, particulièrement pour la famille nombreuse qu’il laisse. Une famille dont Maître Patrick Mpoyo Nzolantima est l’aîné. AEM

Le dernier adieu à Yaya Brown Mbuta Mashakado

 

 

 

Le magicien de la guitare Félix Manwaku Waku Pépé Felly

http://www.afriquechos.ch/spip.php?article5281

Mbuta Mashakado inhumé au cimetière à Mbeseke Mfuti «Nouvelle cité»

Kinshasa, 06/07/2011 / Musique

Les musiciens du Clan Langa Langa lui ont rendu un hommage mérité en qualité d’un homme de culture, chorégraphe et de grand artiste musicien et Papa Wemba a saisi l’occasion pour témoigner, larmes ruisselant sur les joues sur l’illustre disparu, au nom de tous les musiciens du Clan présents à la cérémonie funèbre.

MASHAKADONé Dieudonné Samuel Mpoyo Nzolantima , l’ancien chanteur pop de Zaïko Langa Langa , « Mbuta Mashakado », mort il y a une semaine en Afrique du Sud, a été inhumé hier mardi 5 juillet dans l’après-midi au cimetière Mbenseke Mfuti « Nouvelle cité », à Kinshasa, terre de ses ancêtres, après trois jours de programme des funérailles qui a débuté le dimanche 3 juillet par l’exposition du corps au Centre culturel du Home Assanef de la Commune de Lingwala.

Comme c’était le cas avec le défunt Bimi Ombale « Mwana Wabi » qui l’a précédé dans l’au-delà, les musiciens du Clan Langa Langa lui ont rendu un hommage mérité en qualité d’un homme de culture, chorégraphe et de grand artiste musicien et Shungu Wembadio Papa Wemba a saisi l’occasion pour témoigner, larmes ruisselant sur les joues sur l’illustre disparu et cela, au nom de tous les musiciens du Clan Langa Langa présents à la cérémonie funèbre.

Il a reconnu les prouesses artistiques du disparu. On a noté la présence de Pépé Felly Manuaku, Jossart Nyoka Longo Mvula, Ilo Pablo, Grand père Bozi Boziana et Gina Efonge.

Ils n’ont pas hésité à interpréter en chœur les anciens succès de l’orchestre Zaïko Langa Langa et ses compositions.

Les observateurs n’ont pas manqué de soulever le fait que les musiciens congolais ont fait une fois de plus preuve de division en ce moment de la disparition d’une de figures de proue du clan Langa Langa à savoir « Yaya Mbuta Brown ».

Si l’absence du chanteur Evoloko Atshuamo dit le Joker, présent à Kinshasa, a été une fois de plus déplorée, dans les rangs de la génération Wenge, seuls les artistes musiciens Adolphe Dominguez Tata Mobitch et Blaise Bula étaient sur place pour réconforter la famille.

Franck Ambangito/L’Avenir

http://www.digitalcongo.net/article/76871

 

http://lejalonducongo.unblog.fr/2011/07/12/mbuta-mashakado-est-decede-mercredi-22-juin-a-johannesburg/



13/07/2011
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