Jamais la République Démocratique du Congo n’aura été aussi fragile qu’en ce moment. La présidentielle du 28 novembre devient un enjeu autour duquel toutes les impossibilités tentées hier, semblent trouver soudain un champ d’expression. Pour qui sait bien y regarder, l’alignement des principaux protagonistes à ce grand rendez-vous aboutit à une arithmétique géopolitique donnant des frissons dans le dos.
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