La sordide propagande de Kin-Kiey à la Goebbels
«Les tirs perdus ne pas sont perdus pour tout le monde!
«Les tirs perdus ne sont pas perdus pour tout le monde!
On le sait depuis Mobutu. . Voilà ce que Kin-Kiey Mulumba écrit, dans «LE SOFT INTERNATIONAL» n°1111 du mercredi 6 juillet, sous son pseudonyme bien connu de T. Matotu, pour justifier la mort d'un «combattant» de l'UDPS lors d'une manifestation devant le siège de la CENI -Commission électorale nationale indépendante.
Effectivement, les tirs perdus sont pour les enfants des autres, ceux qui n'ont droit à rien dans leur propre pays, même pas le droit à une enquête pour déterminer les responsabilités sur les circonstances qui ont fait que la police décide de tirer à balles réelles sur des manifestants. Certains y opposeront les coktails molotov qui ont été récupérés chez les manifestants. Qu'importe ! Cela ne justifie pas une mort d'homme et n'exhonère pas l'arme qui a donné la mort d'expliquer si la menace était si grave pour passer à la réplique extrême. C'est ça la règle en démocratie. C'est ça la règle en Belgique ou Kin-Kiey garde ses enfants depuis Mobutu avec l'assurance qu'il ne leur arrive rien dans un Etat de droit. Une règle superbement ignorée en RD-Congo. Ignorée même lorsque sept détenus meurent, en 2009, par étouffement, par une nuit chaude, dans le cachot du camp Lufungula. Ignorée, ignorée, ignorée pour dire combien la vie du commun des Congolais est banalisée depuis le régime Mobutu, là où d'autres nations sont prêtes à faire décoller des avions de chasse et des hélicoptères de combat pour aller exfiltrer un seul compatriote en péril dans un coin le plus reculé de la terre.
Gain sans conviction
Regardez l'exemple de la France qui s'est mobilisée toute entière pour Stéphane Taponier et Hervé Guesquière. Chez nous, quand des compatriotes sont pourchassés en Angola jusqu'à aller se noyer, il n'y a presque personne à Kinshasa pour donner de la voix. Ça c'est aussi une forme de la maccabre théorie de Kin-Kiey, ce Joseph Paul Goebbels -le funeste théoricien du nazisme- à la congolaise prêt à tout justifier pourvu que cela lui permette d'entretenir sa petite vie bourgeoise empruntée (Voir archives FPI -Fond de promotion de l'industrie- pour une affaire d'un prêt de plus 150.000 dollars échu). Par le passé, le patron du «SOFT» a même justifié la pendaison du leader des Ogoni, au Nigeria, une pendaison condamnée pourtant de par le monde entier. S'il le nie, il n'y aura qu'à aller chercher dans les archives de son journal de l'époque. Le légendaire dythirambiste Kin-Kiey a également justifié les excès du régime Mobutu, parlant même de la légitimité de déployer des chars pour défendre la démocratie contre des manifestants de l'UDPS désarmés. Tout ce qu'il y a de plus de sordide, une propagande motivée rien que par le gain, le profit personnel sans aucune conviction au fond. Toujours est-il que le jour où la situation s'est retournée, le propagandiste s'est enfui comme un lapin. Un certain 17 mai 1997, Kin-Kiey a dû être tiré de son lit, à cinq heures du matin, par un de ses journalistes, le défunt Kilolo Ngwalumuna, qui avait passé la nuit à la rédaction, attenante à la résidence du patron, avec d'autres après avoir bouclé le journal la veille. Le dernier ministre de l'information de Mobutu avait été pris de court par l'entrée de l'AFDL dans la ville de Kinshasa pendant que les autres dignitaires avaient déjà décampé. Qu'il se rappelle qu'il abandonna toutes ses grosses cylindrées et ses gardes du corps pour se faire escoter par ses journalistes à bord d'une très modeste Mazda 818 de son ancien collaborateur Raphaël Kidimbu Mpese. Qu'il se souvienne de tous les détails pour comprendre combien il s'est senti fragile ce jour là, tremblontant comme une feuille. Ces détails -de la traversée du fleuve jusqu'aux errements à Goma dans les rangs du RCD et à Kigali prétendument dans la cour de Paul Kagame- sont lui à épargner aujourd'hui pour mieux les mettre en perspective demain si cela s'avère nécessaire. Plaise à Kin-Kiey de considérer que «CONGONEWS» n'approuve pas la violence. Celle qui a été mise sur le compte des manifestants de l'UDPS est condamnable tout autant que la proverbiale gâchette facile de la police congolaise.
H.M. MUKEBAYI NKOSO
http://www.7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=22244%3Ala-sordide-propagande-de-kin-kiey-a-la-goebbels-&catid=6%3Acongonews&lang=fr
http://www.7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=22244%3Ala-sordide-propagande-de-kin-kiey-a-la-goebbels-&catid=6%3Acongonews&lang=fr
De mémoire d'hommes Il y a 9 ans, Tryphon Kin-Kiey Mulumba co-enterrait quinze femmes congolaises vivantes ! Cette année, c'est le 9e anniversaire des viols et des violences sexuelles contre les femmes de Mwenga (1999-2008) comme nous le rappelle le Dr Shungu Tundanonga ! Des femmes congolaises de cette localité, située dans le Sud Kivu, aux confins du Parc de Kahuzi-Biega, furent violées en public, lynchées et enterrées vivantes. Le vendredi 3 octobre 2008 |
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Du passage éphémère au ministère de l'information puis dans la “rébellion”.
En tant que dernier porte-parole du gouvernement de Mobutu, Kin Kiey était chargé de rédiger des communiqués soporifiques censés entretenir la bonne image d'un maréchal mourant, lâché par tous ses protecteurs occidentaux.
Il passait ainsi de son rôle de conseiller occulte à celui de dernier porte voix officiel de la mouvance présidentielle ( F.D.U.). Nous avons le souvenir pathétique du dernier compte rendu d'un conseil de ministres, lu à la radio (OZRT) par un Kin Kiey sans conviction pendant que Mobutu lui-même avait déjà quitté Kinshasa. Puis vint l'heure de l'exil pour le dernier carré de tous les Mobutistes, et Kin Kiey quitta également le pays pour intégrer plu tard la rébellion militaire du RCD, il en fut même l'une des grandes figures à une époque.
Devenu conseiller spécial de Kagame chargé des affaires congolaises, il installe les bureaux de son journal le Soft à Kigali.
Comme Ludo Martens, l'écrivain Belge nous rappelle dans son article du 7 mars 2000, intitulé « Caches d'armes et mutinerie à Bukavu, danger d'une troisième guerre au Congo », Kin-Kiey Mulumba se fait le porte-parole des capitaux américains et rwandais qui veulent “faire éclater les frontières” pour que “le monde devienne un vaste marché pour quiconque sait vendre et sait acheter”…
Voici comment ce digne mobutiste-kagamiste s'est exprimé le 26 février 2004 :
« A Bukavu, le gouverneur RCD Chiribanya Chirimwami est brutalement limogé par le gouvernement dont l'ex-mouvement rebelle étatisé est partie prenante sans qu'il ne cherche à broncher. La crise qui couvait depuis juin 2003, a atteint sa phase terminale. Hutu et Tutsi, tous Banyarwanda, tous frères et sœurs, ennemis jurés hier jusqu'à s'entre-tuer massivement, ont enterré machettes et lances, et fait chorus. Ensemble, ils vont défendre leurs terres, en premier, leur gouverneur hutu Eugène Serufuli Ngayabaseka. La question n'est plus l'entrée en ébullition, la question est de savoir quand. À l'heure où les frontières éclatent, où le monde devient vaste marché pour quiconque sait vendre et sait acheter, il n'y a que dans l'ex-Zaïre où, faute de leadership, l'habitant n'a rien compris. Le Kivu lui veut vivre, se produire et se reproduire. Il se tente et se laisse tenter par une culture moderne, loin des incuries et qui marche. Qui lui en fera le reproche ?” (Tryphon Kin-Kiey Mulumba, Le Soft, 26 février, n° 782 ; lesoftonline. net 04/03/2004).
« Kin-Kiey Mulumba, comme Tshisekedi et Katebe Katoto, est parmi les politiciens qui jouent à fond la carte des Américains et de leur libéralisme outrancier qui fait sauter les frontières. Kagame possède une armée puissante qui s'insère délibérément dans la stratégie politico-militaire des Etats-Unis pour la domination du continent. Son armée est très présente au Kivu où elle se fait passer comme faisant partie des rwandophones congolais… Cette présence politico-militaire au Kivu, jointe à une pénétration économique, permettra à l'alliance Etats-Unis-Rwanda kagamiste de dominer le Kivu sans l'annexer formellement.
« C'est à cette lumière qu'on peut interpréter les dires de Kin-Kiey Mulumba. « Paul Kagame éprouve des nouveaux besoins : il veut reconstruire son pays ; il veut tisser des nouveaux liens dans le monde basés sur la compétitivité et la bonne gouvernance ; il veut tourner le dos à la guerre et être vraiment ce nouvel homme que son pays et la région attendent. (Récemment,) il a fait fermer la frontière entre Bukavu et Cyangungu. Là aussi un même message adressé aux Congolais :“Si vous vous battez, c'est bien entre vous. Les Rwandais n'ont rien à y faire'. »
Quelque temps plutard il va quitter le RCD, n'ayant certainement pas trouvé sa place dans un mouvement téléguidé par le Rwanda. Et à la faveur des accords de Sun city, il retourne à Kinshasa pour y retrouver sa place de courtisan.
Faute de n'avoir pas su faire décoller sa carrière politique, il excelle dans l'art de l'intrigue dans les milieux politiques kinois tout en s'appuyant exclusivement sur un mouvement politique composé essentiellement de ses proches. Et pour entretenir son image, il n'hésite pas à bouffer à tous les râteliers à l'instar de tous les journalistes griots de Kinshasa.
Devenu membre à part entière de l'AMP, maintenant nous apprenons que le député Kin Kiey Mulumba, rassemblant une poignée des Congolais de son lieu de naissance, vient de lancer un nouveau parti politique dénommé Parti pour l'Action (P.A.) - pour éroder l'électorat au Bandundu ?
Mais ce sont les actions passées de Kin Kiey Mulumba qui comptent.
En fait, cette année, c'est le 9e anniversaire des viols et des violences sexuelles contre les femmes de Mwenga (1999-2008) comme nous le rappelle le Dr Shungu Tundanonga ! Des femmes congolaises de cette localité, située dans le Sud Kivu, aux confins du Parc de Kahuzi-Biega, furent violées en public, lynchées et enterrées vivantes, après les viols, leurs bourreaux les avaient violées avec de morceaux de bois, de branches d'arbres et de barres de fer et mis de bâtons dans leurs organes génitaux (vagins).
Ensuite, ce fut du sel et du piment qu'ils mirent dans leurs vagins avec des objets contondants. Finalement, les moins malheureuses furent immédiatement enterrées vivantes dans les trous que leurs maris, frères, pères et fils avaient été forcés de creuser, et, les plus malheureuses durent passer toute une nuit dans de fossés creusés par les mâles de Mwenga sous la menace des armes. Ces fossés étaient remplis d'eau salée, qui atteignaient les plus grandes jusqu'au cou (les plus petites furent noyées), le lendemain elles furent retirées de ces fossés, reviolées et massacrés l'une après l'autre.
Ces évènements ont été documentés par les ONG congolaises de droits de l'homme (COJESKI fut la première), vérifiés et confirmés par la Monuc et autres ONG internationales de droits de l'homme dont HRW.
Voici comment Ki-Kiey Mulumba, un sadique à la solde des Tutsi, a réagi à ces crimes indescriptibles contre l'humanité ! Jugez-en l'homme vous-mêmes !
Goma, 19 mai 2000
1. A la suite de diverses accusations portant sur des violations des droits de l'homme qui auraient été perpétrées dans la province du Sud-Kivu plus particulièrement l'affaire de « quinze femmes enterrées vivantes » qui se serait produite dans la localité de Mwenga, le Rassemblement Congolais pour la Démocratie, RCD demande de manière pressante à l'Organisation des Nations Unies d'envoyer au Sud-Kivu une mission d'enquête internationale indépendante en vue d'établir la véracité sur ces allégations.
2. Le RCD s'engage à mettre tout en œuvre en vue de faciliter le travail des enquêteurs en leur assurant notamment toute la sécurité nécessaire lors de leur mission dans la région concernée.
3. Selon tous les rapports en possession du Rassemblement Congolais pour la Démocratie, la tragédie de Mwenga s'est produite lorsque trois femmes accusées de sorcellerie par la population locale ont subi des sévices corporels, selon la coutume locale.
4. Selon ces rapports, aucun soldat, aucun commandant de l'Armée Nationale Congolaise-RCD n'a été mêlé dans cette tragique affaire.
5. Si à l'issue de cette enquête, une responsabilité quelconque était établie mettant en cause un élément ou des éléments de l'ANC-RCD, le Mouvement s'engage à prendre toutes ses responsabilités conformément aux textes de loi en vigueur dans le territoire libéré et en temps de guerre.
6. Le Mouvement rappelle que récemment encore, la Cour martiale a condamné à la peine capitale un policier qui, à Goma, au Nord-Kivu, avait ouvert le feu sur une compatriote.
7. Le RCD qui lutte, de toutes ses forces, pour l'instauration de la Démocratie et l'Etat de droit dans notre pays ne saurait en aucun cas tolérer des pratiques qu'il condamne.
8. Lors de la rencontre avec la délégation des Ambassadeurs des Nations Unies conduite par l'Ambassadeur américain Richard Holbrooke, les autorités du RCD avaient déjà, répondant à une question de l'Ambassadeur des Pays-Bas, demandé l'envoi de cette mission à Mwenga.
9. Le RCD espère ardemment que cette mission d'enquête internationale indépendante pourrait se rendre au Congo et au Sud-Kivu aussi vite que possible.
Signé Prof Kin-kiey Mulumba
Chef de Département de la Communication et de la Culture du RCD. Porte-parole |
GRARC s'en prend au mercenariat journalistique de Kin-Key Mulumba.
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Concerne : Presse et Mercenariat
La présente contribution n'aurait sans doute pas eu de raison d'être si le Professeur avait gardé pour lui le secret d'une audience qui avait manifestement pour but de solliciter du Chef de l'Etat son indemnisation pour les dégâts causés à sa superbe villa de Binza-UPN et de la spoliation de ses biens par la soldatesque de l'AFDL. C'est son droit le plus absolu de citoyen et d'acteur politique.
Seulement voilà : le Professeur dont le professionnalisme n'a jamais été pris en défaut, a commis un péché gratuit, qu'il aurait dû éviter. Courbe rentrant.
En effet, le très long article publié en guise de restitution de l'audience nous semble sorti tout droit de la rédaction du quotidien l'Avenir, de la RTNC, de Digitalcongo ou des plumes de Kudura Kasongo. Quel dithyrambe ! Quelle louange ?
Qu'y avons-nous lu de spécial, de nouveau, qui ait justifié de la part du Professeur Kin-Key Mulumba cette restitution ? Rien de nouveau sous le soleil !
Joseph est-il le fils biologique de Laurent-Désiré Kabila et de SIFA ? Rien que du déjà entendu. Mais, pourquoi donc Etienne Kabila a-t-il perdu la voix ? Où l'a-t-on caché ? Qu'est-ce-qui s'est passé pour que ce fils authentique de Laurent devînt aphone ?
Pourquoi au congrès du PPRD nous a-t-on exhibé un ZOE (ou JO, nous l'ignorons) ou une Jannet, sans les autres enfants incontestés ?
Les diplômes de Joseph ?
Mais pourquoi donc le site Internet du Président de la RD Congo est-il demeuré muet à ce sujet depuis sa création ? Et pourquoi donc les parlementaires du PPRD se sont-ils battus bec et ongle, pour éliminer le critère d'études faites exigées d'un candidat avant de postuler au poste de Président de la République ? Et si Joseph est donc réellement le brillant juriste décrit par KAMERHE, parlant un français parfait selon le Professeur Kin-Key Mulumba, pourquoi donc le PPRD s'est-il battu dans l'hémicycle pour lui éviter cette épreuve si affligeante au second tour de l'élection présidentielle, alors qu'il est un brillant juriste ? Quant à Kin-Key Mulumba, avons-nous besoin de rappeler que si un journal en RDC a traité Joseph d'illettré, c'est bien le sien ? Aurions-nous oublié l'article online qui relatait par le menu l'audience au cours de laquelle Collin POWELL aurait soumis Joseph à un test et dont l'évaluation se serait conclue par une vacuité intellectuelle ?
Aurions-nous oublié le compte-rendu presque analytique de ce qu'on avait appelé « l'affaire Roger NIMY et qui était impitoyable vis-à-vis de l'actuelle idole du Professeur Kin-Key Mulumba ?
Non, au GRARC, nous n'avons rien oublié. Les Congolais non plus n'ont rien oublié.
De taximan pestiféré, caporal de l'Armée Patriotique Rwandaise, honte de l'intelligentsia congolaise, Joseph devient brusquement la photocopie d'une idole, au point de pratiquement lui prédire un avenir politique comme celui de l'ancien léopard, ce serait trop facile à faire avaler aux Congolais qui ont déjà avalé plus d'une couleuvre dans cette saga de Joseph.
Que Joseph s'étonne qu'on ne l'attaque pas sur sa gestion d'Etat, au demeurant calamiteuse, est pour le GRARC décevant car chaque jour qui passe,la presse réellement n'arrête pas d'en parler.
FORREST, KATUMBA et le saucissonnage de la Gécamines avec l'intervention personnelle de Joseph au téléphone intimidant le pauvre PDG,le tripatouillage de la constitution, de la loi des finances 2005 avec OMATUKU, MARINI et OKITUNDU sous la signature de Joseph, des nouvelles armoiries de la République, les scandales SNEL avec BOSHAB, la MIBA déclarée entreprise sinistrée par le Cadastre Minier agissant sur injonction du même BOSHAB, au nom de la Haute Hiérarchie,la DGM et la main-mise de madame SIFA,les ponctions à la Banque centrale à l'aide des simples cartons du Gouverneur, échappant ainsi à la fameuse chaîne des dépenses,la résistance du Président à céder au partage des entreprises du Portefeuille dont tous les PDG étaient nommés par lui et dont plus de la moitié étaient des balubakat,la sous-traitance des services des renseignements confiée à son ami ELIE en ce qui concerne particulièrement BRAZZAVILLE où le Président se plaint d'ailleurs des millions de dollars déboursés pour rien etc…. ?
Tout cela relève de la bonne gouvernance, selon les normes joséphites. Circulez, y a rien à critiquer, sales empêcheurs de falsifier et de mal gouverner en rond !
Merci, Professeur Kin-Key Mulumba, de nous avoir servi ce plat qui jette une nouvelle lumière sur votre propre nature.
Vos étudiants apprécieront.
Mais, c'est vous-même qui avez édicté cette sagesse rare en Afrique : « Pour de l'argent, je vendrais même ma mère. »
Les acrobaties auxquelles vous venez de vous adonner ne sont pas une nouveauté pour ceux des Congolais qui ont l'esprit critique et qui vous connaissent quelque peu.
Vous l'aviez fait pour vous rapprocher de MOBUTU, on connaît le sort que vous lui avez réservée dans le documentaire intitulé “MOBUTU LE ROI DU ZAIRE”.
KAGAME, votre avant dernière idole, l'apprendra assez tôt à ses dépens. Quant à Joseph, il ne perd rien pour attendre. Pourvu qu'il gagne les élections et que sa route ainsi que la vôtre continuent à cheminer dans une convergence parallèle.
En attendant, chapeau, Professeur, pour votre indemnisation ! Et que viva la dolce vida !”
Thomas MBEMBELE
Porte-parole du GRARC
© Copyright La Collecte
Kin Kiey Mulumba:inspirateur du discours haineux de Kyungu
Ceux qui s'interrogent sur les vraies raisons du retour de Gabriel Kyungu Wa Kumuanza sur le devant de la scène politique congolaise avec son discours haineux seront édifiés en lisant le texte ci dessous, écrit par un proche de Kabila, Kin Kiey Mulumba, On y relève clairement la tentation forte de tribaliser le débat politique.
Pour que la majorité reste la majorité…
MISE EN LIGNE LE 11 JUIN 2011 | LE SOFT INTERNATIONAL N° 1107 DATÉ 10 JUIN 2011
Par le Prof. Tryphon Kin-kiey Mulumba Docteur en Science Politique, Université de Paris-1 Panthéon-Sorbonne. Pour la Majorité, gagner demain c’est investir dans les «Swing States» aussi bien que dans des Personnalités Politiques Populaires (PPP).
1. Introduction.
Ce texte basé sur une observation empirique comme sur des éléments de théorie veut montrer comment le Président de la République Joseph Kabila Kabange qui préside aux destinées du pays depuis 2001, peut se succéder confortablement (sans contestation pertinente aucune) à lui-même lors d’un scrutin à un tour prévu pour se tenir le 28 novembre 2011.
Ce texte en trois points pose les principes qui assurent une élection notamment lors de la Présidentielle, montre une Stratégie gagnante à appliquer dans une R-dC sociologiquement émiettée, indique la Machine politique dont la Majorité présidentielle doit disposer pour gagner.
Ce texte est un extrait d’une étude approfondie inédite.
2. Les principes qui assurent une élection.
D’entrée de jeu, il faut poser ce qui suit: se méfier des idées simples ou simplistes qui souvent permettent de dormir sur ses lauriers. Ces idées simples consistent à dire:
- Nous avons un bilan; - Nous avons les médias; - Nous avons les millions. Conclusion: la victoire est à portée de la main.
Or, l’évolution récente du monde et l’observation de quelques grandes confrontations électorales récentes ont montré toutes les limites de cette thèse.
2.1. Très clairement:
2.1.1. Il n’existe pas de rapport mécanique entre un bilan et un succès électoral. En France, le Premier ministre Lionel Jospin, successeur désigné de François Mitterrand avait présenté le plus beau bilan de gestion économique de France. Il fut battu à plate couture dans une élection à deux tours à la fois par le président sortant Jacques Chirac que par le chef de l’extrême droite française Jean-Marie Le Pen. Pour que la majorité de Français sauve la République et l’État de droit républicain, la victoire de Chirac ne fut obtenue que grâce à un rassemblement sans précédent sous la Vème République des partis démocratiques de gauche et de droite.
Le fiasco de Jospin fut si retentissant qu’au soir de la déroute, le Premier ministre prit congé de la politique. Il venait ainsi de comprendre à quel point la France ui avait tourné le dos malgré ses performances économiques.
2.1.2. Il n’existe pas de rapport mécanique entre le contrôle des médias (le pouvoir anesthésiant des médias) et un succès électoral. S’il y a en Italie le cas exceptionnel de Silvio Berlusconi, qui contrôle un empire de presse totalement soumis à sa cause et qui lui a assuré la prise du pouvoir (dans des circonstances de crise généralisée avec les scandales financiers de la gauche italienne mêlée à la mafia), en France, on note que François Mitterrand l’emporta haut la main face au président sortant de droite Valéry Giscard d’Estaing.
Le leader de la gauche unie n’avait avec lui aucun média, tous les médias (audiovisuels) français étaient à l’époque sous la férule de l’État, donc du Gouvernement. Les principales télés étaient quasiment hostiles à l’idée d’une prise du pouvoir par la gauche (PS et PC) et ne s’en cachaient pas.
Le moins que l’on puisse dire est que s’il ne faut pas ignorer la place des médias dans une campagne électorale, il faut en relativiser le pouvoir anesthésiant. L’homme quand il vient à la presse, il a souvent arrêté son opinion et il recherche souvent dans la presse un certain confort idéologique. La presse n’agit que sur des petites marges flottantes de l’électorat. D’où la belle phrase des Public Relations: «Bien faire et faire savoir».
2.1.3. Il n’existe pas de rapport mécanique entre une fortune personnelle et un succès électoral.
En R-dC, Antoine Gizenga arriva troisième à la Présidentielle de 2006 et son parti PALU rafla une trentaine de sièges au Parlement. Nul ne peut prétendre que le Chef du Palu était crésus à la veille de cette élection. Aux États-Unis, un Noir, membre du Parti démocrate, est arrivé à la Maison Blanche. Au lancement de sa campagne, BarackObama ne disposait d’aucun dollar dans sa caisse. Les millions de dollars ne se mirent en route que quand l’espoir vînt à pointer à l’horizon.
Conclusion partielle: Que ce soit Chirac (en France), Mitterrand (en France), Gizenga (en R-dC), Obama (aux États-Unis), pour gagner, chacun de ces leaders a su se projeter dans l’avenir, représenter (incarner) l’espoir d’un lendemain meilleur.
Une élection se tient toujours dans un contexte (de crise sociale, de crise économique, de crise diplomatique, de pauvreté accrue, de perte de confiance dans les dirigeants actuels, etc.) et c’est ce contexte qui fait émerger un homme providentiel (aux États-Unis, les frasques d’un George Bush ont laminé tout espoir républicain de l’emporter et l’élection, sauf accident improbable, était gagnée d’avance par le parti démocrate, quelque pu être le candidat. D’où la guerre fratricide qui opposa Mme Clinton et Obama).
L’observation du discours à l’occasion de quelques grandes Présidentielles dans le monde met en évidence les phrases et idées ci-après qui reviennent avec récurrence:
- «Ne soyons pas défaitistes, l’avenir nous appartient à condition de…»; - «Tournons-nous résolument vers l’avenir…»; - «Ne nous laissons pas allés à l’abandon, nous pouvons (nous devons) nous relever»; - «Nous symbolisons la force tranquille: celle qui vient du plus profond de notre être, de nous-mêmes, de nos campagnes pour changer la vie…»; - «Le changement? Oui, nous pouvons» (Change, Yes We Can). Lors des débats contradictoires, on entend souvent:
- «Vous, vous êtes l’homme du passé; moi, je suis l’homme de l’avenir…». C’est signe que le Peuple a tendance à oublier le passé (et le présent). Ce qui importe pour lui c’est construire l’avenir et il fera confiance à celui qu’il croira le mieux à même de l’y aider dans cette voie…
En R-dC, le vétéran Gizenga a surfé grandement sur son passé messianique. Cela a marché dans un terreau bandundois mystico-religieux euphorique qui a cru en un Pierre Mulele et symbolisé un rêve.
Ce phénomène aura de la peine à se reproduire en 2011. Il ne s’est d’ailleurs produit qu'à la Présidentielle couplée avec les Législatives nationales lorsqu’on surfa, face à des masses paysannes non informées, sur des capacités mystiques de transformation sociale et, a crontrario, celles de jeter un mauvais sort sur un peuple réfractaire; il a disparu aux élections suivantes.
Le Palu n’a pas réalisé ses performances aux Provinciales qu’il a perdues, ni aux Sénatoriales qu’il a perdues et qui ont eu lieu peu après les Nationales.
Si les premières élections ont été euphoriques, celles à venir seront critiques.
Conclusion générale: A partir de ces analyses, on voit que, pour l’emporter à une élection, un candidat doit prioritairement se tourner vers l’avenir, proposer un monde meilleur - qui fait rêver -, où il fait bon vivre (des emplois, des services de santé, des écoles, de l’eau potable pour tous, de l’électricité pour tous, de la mobilité, etc.) outre un État de droit irréprochable (chances d’accès aux responsabilités garanties à tous), de paix (loin des guerres, une économie prospère, etc.
Pour l’emporter à une Présidentielle, l’homme politique doit surtout apparaître comme le Candidat naturel de la Nation pleine et entière, celui qui, dans un contexte précis, apparaît comme porteur de solutions: le bien-être général.
Pour être élu Président, il faut que la majorité du pays se dise:
- «C'est lui, ou, tout compte fait, face à nos problèmes d’aujourd’hui, c’est cet homme qu’il nous faut aujourd’hui à la tête du pays pour le conduire demain; c’est lui qui saura le mieux se battre face aux défis majeurs de la vie». 3. Une stratégie politique gagnante.
3.1. Cartographie politique du pays. La R-dC est un pays à mille cultures. Notre pays est culturellement et sociologiquement émietté. C’est sa richesse. Si ce pays est resté uni c’est parce qu’il fut placé sous la férule d’un dictateur appuyé par les Occidentaux dans un contexte de guerre froide. Ses mille cultures qui sont sa richesse ne sont pas toujours sa force, bien au contraire, ce sont sa faiblesse.. Avec les guerres, la misère, la pauvreté, des revendications identitaires enfouies se font jour et menacent la cohésion et la concorde nationales.
Du fait de ses mille cultures, ce pays n’a jamais vu s’éclore un parti politique national. Le MNC-Lumumba a échoué; le MPR-Mobutu mêmement; tout comme les CPP; le PPRD, en dépit de ses moyens, n’a su en 2006 ni rafler la majorité de sièges au Parlement, ni le tiers de celui-ci. Dans le Kwilu, le parti présidentiel ne dispose que d’un Député! Dans tout le Bandundu, il ne compte que trois ou quatre Députés. Dans le Bas Congo, c’est plus tragique!
En 2006, le PPRD n’a fait de score qu’à l’est du pays, le MLC-Bemba à l’Équateur, le contingent du PALU vient du Bandundu et du Bandundu seul et de sa diaspora kinoise.
Les élections de 2011 vont cristalliser cette tendance. L’Équateur devrait plébisciter plus encore les courants mobutistes-bembistes (le MLC qui pourrait faire alliance avec Nzanga Mobutu) tandis que le Katanga et les Kivu resteraient la terre du PPRD même si les Kivu seront disputés avec Kamerhe.
Il faut néanmoins noter l’absence de fief qui est la caractéristique principale du PPRD dans la mesure où le Katanga par exemple ne lui appartient pas (les Kasaïens peuplent la voie ferrée et les centres commerciaux et constituent le terreau de l’UDPS).
Les Kasaï devraient s’offrir tête baissée à Tshisekedi. Le Bas Congo restera majoritairement encore grognon, une province d’opposition pour l’opposition, une province du refus - - une Madame Non -, anti-pouvoir, balayée majoritairement par des courants messianiques notamment de Bundu dia Kongo.
3.2. Situation politique actuelle du pays.
En 2006, pour constituer une majorité pour gouverner, le PPRD a dû passer de douloureuses alliances avec des partis politiques et des personnalités politiques indépendantes populaires (PPIP). En 2011, de toute évidence, les partis au pouvoir vont subir de plein fouet un vote sanction. Selon les tendances qui se dessinent clairement début 2011 et qui sont bien sûr susceptibles de subir des modifications dans un sens ou dans l’autre en fonction du contexte, s’il restera le principal parti du pays, le PPRD va subir un tassement (90 à 100 Députés), le PALU devrait sauver une dizaine de sièges - peut-être moins - sur sa trentaine actuelle, le MSR, l’UDÉMO, l’ARC pourraient disparaître de la prochaine législature ou ne représenter que l’ombre d’eux-mêmes.
La campagne 2011 sera dure (affaires, corruption, enrichissement illicite, etc.) et les partis de la coalition en paieront comptant le prix.
A la législature à venir, on s’attend sinon à une transformation, du moins à une reformation de la majorité avec l’entrée des partis émergeants.
Mais la campagne sera aussi tribale et tribalisée. D’où l’urgence pour le camp présidentiel de rechercher non pas avec qui il a gagné en 2006 (c’est hier, c’est du passé, c’est sans importance, il faut passer un trait), mais avec qui il va (il doit) gagner demain, dans neuf mois. A savoir quelles sont les 10 ou 15 Personnalités Politiques clés du pays.
Nous pensons à ces Personnalités politiques majeures (PPM), populaires chacune dans son milieu d’origine. Ces Personnalités politiques capables de se fondre dans et au sein de la population. Des personnalités à forte influence et non pas des personnalités virtuelles.
Il faut bien sûr garder avec soi les grands commis de l’État (ces hommes exceptionnels dont l’appareil politique a toujours eu besoin dans la production d’idées) mais en 2011, année de campagne électorale, année de communication par excellence, le camp présidentiel doit recenser les grandes tribus du pays (les «Swing States») et mettre sur orbite leurs plus authentiques représentants.
Le but est de monter en première ligne ces Personnalités (avec la meilleure visibilité afin qu’elles soient investies de l’autorité voulue et de la respectabilité nécessaire) et de les lâcher, sans attendre désormais, dans leurs milieux d’origine avec un discours cohérent.
4. La machine politique gagnante.
Pour être gagnante, une action politique doit bénéficier d’assez de clarté et de visibilité. Le public a horreur à écouter des anonymes se succéder sur des télés. - «Il parle au nom de qui? Il m’invite à débattre avec lui mais qui représente-t-il? C’est pure perte de temps: je ne l’écoute pas; je ne m’y rends pas…» Le public réclame les poids lourds. Ceux qui drainent des foules et donc de l’audimat.
On n’écoute que des personnes investies de l’entière et pleine confiance de la Nation ou de son représentant, le Chef de l'État; celles qui incarnent cette Parole ou cette Personne.
- «Cet homme quand il prend la parole, il dit des choses sérieuses, qui annoncent des événements à venir et qui se réalisent: je l’écoute…» A l’Université de Kisangani, le PPRD pouvait à raison déclarer être en mesure à lui seul de faire élire Joseph Kabila dès le premier tour quand il s'agissait à l'époque d'une Présidentielle à deux tours.
Depuis l’incroyable accélération du contexte:
- national (retour de Tshisekedi apparemment en parfait état de santé, démission dans la grande douleur de Kamerhe avec ses suites médiatiques (la campagne de diabolisation à l’étranger de la personne du Chef de l’État et de son entourage) qui n’en finissent pas, démission de Nzanga Mobutu avec son alliance avérée avec son beau-frère JP Bemba, évasion de Munene et insécurisation du Bandundu, etc.); - et international (Guinée, Côte d’Ivoire, Tunisie, Égypte, Libye, Jordanie, Yémen, Bahrein, Algérie, etc.),
la réélection du nouveau Président de la République toujours en tête dans les sondages mais qui doit assurer son avance de façon confortable (suivi relativement ex æquo par Kamerhe et Tshisekedi) ne sera possible que par une action politique volontariste menée ensemble et par des PPP, Personnalités politiques Populaires dans leurs milieux d’origine coordonnées par un homme qui a pleine et entière confiance du Candidat Président. Il faut non seulement que l'AMP (Alliance de la Majorité Présidentielle) existe, il faut qu’elle soit restructurée et relevée (structures et hommes), renforcée pour en faire une machine de guerre (qui représente effectivement le Chef, en qui le Chef a entière et pleine confiance). C’est de cette confiance que l’AMP Nouvelle tirera sa force et sa crédibilité qui lui font aujourd’hui grandement défaut.
Il faut se méfier du Peuple. Pris comme foule, le Peuple n’a jamais raisonné. Il suffit à un malin de mettre le feu pour que le feu se transforme en incendie.
Et voilà que le Peuple se surprendra dans une dynamique qu’il n’avait pas prévue.
Nous aurions tort de sous-estimer l’opposition interne qu’intègre jour après jour de plus en plus bien de malins poussés par des intérêts étrangers déçus, bien de manipulateurs avérés, qui disent parfaitement connaître le modus operanti du camp présidentiel.
Il faut enfin noter qu’à l’heure actuelle, l’étranger laisse généralement les peuples agir sans intervenir directement - c’est ce qui s’est passé à Abidjan ou en Libye - avant d’en tirer fermement proft et de s’en revendiquer publiquement. Ce qui constitue un tournant dans les relations internationales.
5. Quelle Majorité aujourd’hui?
L’unanimité est faite - et cela correspond à la théorie politique dans ce pays à mille cultures - que ce pays sera toujours gouverné par une Coalition. Celle-ci doit reconnaître aux Partis Politiques leur identité propre. Pour son fonctionnement, la Majorité doit disposer d’une Structure de Coordination qui doit être un lieu d’échange, de concertation, de décision, d’impulsion. A la Majorité de concevoir les grandes théories fédératrices, de laisser s’appliquer sur le terrain par les Partis Politiques et de suivre leur fidèle exécution.
Elle devrait disposer de Grandes Commissions Politiques Nationales (Stratégiques, Sociales, Reconstruction, etc.) et laisser aux Partis Politiques l’implantation locale. Ce n’est pas à la Majorité de mener les activités politiques sur le terrain. C’est aux partis politiques alliés. La Majorité ne saurait empiéter sur les Partis politiques. La Majorité a pour interlocuteurs les Chefs des Partis politiques qui, à leur tour, mobilisent leurs bases respectives.
Ce qui manque le plus à la Majorité est son opérationnalité (absence de réunion et de décision) et sa fonctionnabilité (absence de distribution des moyens logistiques aux Partis politiques).
La personnalité qui doit conduire cette Structure doit être investie de la confiance pleine et entière de l’Autorité Morale de la Majorité - parler en Son nom, Le refléter parfaitement. Elle doit de ce fait disposer d’un haut niveau de décision. Cette personnalité doit faire montre d’assez de neutralité et être objective dans ses décisions. Elle ne saurait être accusée de favoritisme, ce qui est susceptible de démolir le moral des troupes.
Par le Prof. TryphonKin-kiey Mulumba, Docteur en Science Politique, Université de Paris1 Panthéon-Sorbonne.
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Non, jamais le territoire de Masi-Manimba ne se laissera manipuler par cet individu qui n'a qu'un parti tribal et ne pense qu'à son ventre. S'il pense être parmi ceux qu'il désigne de PPM, il se trompe royalement.
Le territoire de Masi-Manimba détient plusieurs personnalités de renom et d'ailleurs il se souviendra que malgré les apparences, ce territoire ne vote jamais pour le PPRD.