Le Blog de Sacrebopol

VACCINATION OU LA MORT

 FEU VERT DE L’ONU EN  RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE  DU  CONGO.

 

 

PRÉAMBULE
 
    Pendant longtemps, et jusqu’après la dernière guerre mondiale, la production de vaccins par les pays industrialisés était le fait d’organismes publics, mais depuis quelques décennies les états ont délaissé cette activité au profit du secteur privé surtout depuis l’arrivée des biotechnologies.

Les labos leaders dans l’industrie des vaccins sont :

    En 2000, le marché des vaccins atteignait 7 milliards d’euros. Il s’accroît de 12% par an et devrait atteindre 20 milliards d’euros dans 10 ans. La face cachée de l’industrie des vaccins "Quand Rhône-Poulenc vaccine 20 personnes par seconde dans le monde, c’est bien pour le monde, c’est bien pour les actionnaires." - slogan publicitaire du groupe Rhône-Poulenc. Si les actionnaires de l’industrie pharmaceutique font de bonnes affaires, ils étranglent les pays du tiers-monde par l’argent qu’ils détournent à leur profit aux dépens des autres actions de santé publique. Source : Cobayes humains et Business des vaccins dans Polioplus Rotary International.

CHERS COMPATRIOTES,

Enfants handicapés, polio à Kinshasa
   
 Il circule ces derniers jours une mise en garde sur la vaccination en RDC dont certains ont nommé "Vaccin lucifericide".  Ne nous surexcitons pas par dépit pour ceux qui qualifient cette campagne d'un nom qui évoque l'enfer par le patronyme d'une mort se donnant dans l'injection telle qu'on l'applique aux condamnés à mort dans les horizons de l'Atlantique Nord.  Cette communication de la dangerosité supposée du vaccin que l'on promeut doit être pris au sérieux.  Par le vaccin, on peut empoisonner un peuple et l'exterminer, les Nazis l'ont fait par d'autres noms en usant d'une terme sarcastique et cynique pour dire que ce n'était que la stérilisation des retardés mentaux.  Pour le moment, l'éventualité d'un complot par le "Vaccin" n'est pas à mettre en veilleuse et à minimiser.  On a tué plus de six millions de Congolais, à l'ONU on ne se précipite pas comme on le fait pour attaquer certains États qui sont dirigés par les dictateurs, nos morts sont morts comme des êtres dont on n'a pas besoin de relever les statistiques de ces assassinats meurtriers criminels de masse.  Si donc à travers le vaccin, la mort peut venir, la raison véritable peut-être celle de contenir l'Expansion démographique, mais aussi celle d'enlever les territoires congolais pour les donner à ceux qui nous attaque en guise de rétribution des crimes commis pour le commanditaire des invasions barbares.  Prenons la mise en garde au sérieux et évitons de trop nous disputer là-dessus.  Que les meilleurs de nos médecins, immunologues et chercheurs tentent de démasque ce qui se cache derrière cette campagne.
 
    Quand j'était petit à Léopoldville, en 1961, plus exactement, alors que c'était l'ONU et ses services qui avaient pris la place des "Belges" après l'éviction de la colonisation du "Royaume de Belgique", il s'était signalé une épidémie de la "Variole" et de la poliomyélite, mais je vais m'attarder sur la variole que j'ai suivi de près et l'une de mes petites soeurs en fut victime.  Les Kinois ont demandé comment cette variole a commencé, mais ils n'eurent as de réponse.  Les plus instruits en médecine, qu'étaient alors "les Assistants médicaux", donnèrent leur version.  Bien sûr, avec leur proximité à côté des différents services nouvellement implantés dans un Congo fragile et susceptible aux guerres civiles, alléguèrent que c'était "L'ONUC" ou ONU-Congo, c'est-à-dire le précurseur de la MONUC et MONUSCO qui voulaient connaître le nombre de la population congolaise d'alors pour solliciter des subsides à l'OMS en vue de permettre aux médecins de cette branche de l'ONU envoyé au Congo de mettre sur pied leur propre système de santé avec la connaissance statistique du nombre des habitants du Congo-Léopoldville.  Partant, c'était bien là une astuce des l'ONUC pour s'implante en longueur dans le temps.  Mais pour cela fut pris au sérieux, ils ont injecté le virus de la variole aux enfants, car effectivement, le dépistage de la variole au Congo, en 1961 a commencé à l'Hôpital de Kintambo.  Il faut entrevue un stratagème simple de connaître la démographie congolaise qui s'élevait à peine à 15 millions sur le 2.243.000 km2.  Tous ceux des Congolais qui devaient amener leurs enfants à la vaccination recevaient une carte pour attester de leur vaccin.
 
Cophaco à É'ville au centre-ville
   
Dans le fond, c'est le nombre des cartes délivrées qui devaient préciser le taux exact de la population au Congo.  On a ensuite dit que ce chiffre fut donné aux multinationales pharmaceutique qui s'en sont servies pour vendre des médicaments au Congo-Léopoldville.  Ce fut le début d'une mort lente des pharmacies d'origines belges qui étaient implantées partout au Congo, à savoir :
  1. Socophar ;
  2. Cophaco ;
  3. Pharmacie Dupuis ;
    Ce ne fut pas sans scandale, la Croix Rouge Danoise qui oeuvrait à peine au Congo fut frappée par la mortalité infantile au point qu'au Danemark, on se décida de construire au plus vite, le grand hôpital kinois connu alors sous le nom de "Clinique Danoise".  Est-ce que ces accusations qui circulaient à travers les ondes de radio trottoir étaient vraie et juste ?  Un grand mystère est resté, mais la vaccination et la variole faisaient bon ménage.  Quiconque ne se décidait pas à faire vacciner son enfant avait le risque de le voir mourir.  Plus on vendait des cartes, davantage la variole faisait rage.  C'est d'ailleurs au cours de la même période que l'OMS installa son siège régional de l'Afrique centrale à Brazzaville.  Curieusement, cette ville voisine à Léopoldville ne fut pas frappé par cette épidémie.  J'ai vu mourir beaucoup d'enfants, mes amis de jeu aussi, j'avais huit ans, j'ai écouté mes parents et leurs amis commenter l'épidémie de la variole dans la capitale congolaise, les Belges résidents du Congo étaient eux aussi pantois devant ce phénomène qui a fait une épuration des enfants que la vie appelait à être mes contemporains.
 
Pharmacie SOCOPHAR à Élisabethville du lieu de la place de la Poste
    Pourtant, même si c'était vrai que la variole était effectivement une épidémie qui a sévit à Kinshasa, les bénéficiaires de cette campagne étaient visiblement-là.  Des médicaments venus de France et de Suisse à Bâle étaient pléthore, les Belges se battaient comme des pestiférés dans le montagnes de troglodytes pour maintenir le marché des médicament de leurs pays.  Hélas, la descente aux enfants de leurs entreprises médico-pharmaceutique était inévitables.  La pharmacie du 30 juin et celle de l'Avenue Victimes de la rébellion sont les derniers transfuges de la présence belges survivant à l'indépendance, mais Mobutu les achèvera avec l'usage de la "Carte d'ayant-droit".  On se servait à l'officine par l'acquisition gratuite des médicaments, mais le gouvernement ne payaient pas ses dettes, ces pharmacies fermèrent, les nouveaux barons du marché entrèrent en scène et les Congolais comme les Zaïrois ouvrirent leurs points de vente comme dépositaires des maisons de ce patronat.  Il est tout à fait indiqué pour le moment que l'on fasse une enquête sérieuse pour contraindre les fausses représentations de vaccination si l'urgence ne s'impose pas.  Il n'y a pas plus d'une année, c'est l'OMS, elle-même, qui avalisé un scandale mondiale, la vente de "Tamiflu" alors que la fièvre espagnole n'était pas là.
 
    Il est enfin important que les Congolais se souviennent qu'en 1975, les affairistes en pharmacie ont conduit à la mort plusieurs congolais par des ventes de médicaments de malaria qui n'en était pas véritablement indiqués pour ce faire.  On a dit aux Zaïrois de se prévenir de la malaria d'une grande virulence en voie d'extinction quiconque ne se préserve pas.  Alors, on a mis en circulation le "Fancidar".  De ce médicament, on disait qu'il détruisait la malaria par la prise d'une capsule ou d'un dragée.  Mais ce qui arriva, ce produit à fini par provoquer des maladies cardio-vasculaires subites qui ont fait mourir plusieurs personnes.  Le Gouvernement effrayé par cette mortalité défendit l'importation du Fancidar qui revint sous un autre nom.  Pendant ce temps, des Étrangers et des Congolais impliqués dans ces ventes firent des affaires d'or par les commissions reçues.
 
Une page d'histoire ressentie par les Belges
    Je pense, qu'il est impérieux que nos spécialistes s'y mettent et que la Police s'organise comme il convient pour découvrir qui est derrière cette opération et si cela vaut la peine de vacciner les gens.  Car, il faut éviter que ce soit-là une astuce de stériliser les Congolais comme nous l'Avions appris que dans un pays voisin au nôtre et qui n'est pas étranger dans nos malheurs, voudrait implanter ce programme involontaire de planning familial dans sa République.  Je n'affirme ni n'infirme la validité de la campagne de vaccination, mais le plus urgent à faire, c'est de vérifier la véracité des mises en garde.  Par ailleurs, il est toujours malaisé par ce temps-ci de confier la responsabilité de cette campagne à quelqu'un que l'on peut facilement accuser à tort ou à raison avec un infiltré vanta des pays agresseurs.  la valeur de cette opération qui met les vies humaines en jeu doit se prévenir tout amalgame d'interprétation par le sérieux de son éthique.
 
NB : Le Congo est un pays mortuaire par excellence ces années-ci, visionner seulement les photos en exergue pour m'approuver, tout en se décidant de faire échec à cette indifférence de voir mourir notre peuple sans réagir.  Il faut aussi que les Évêques catholiques congolais, dans le cas qui me concerne par l'appartenance à l'Église de Rome, de s'impliquer dans le questionnement pour sauver les Congolais si véritablement le vaccin dont on parle est lucifericide.  Après tout, le grand ennemi du peuple de Dieu, c'est Lucifer, il ne faut pas lui donner carte blanche dans les soins de santé, le père du mensonge est là pour tout détruire.  Enfin, excusez-moi pour ce que je peux confondre dans le récit par rapport au temps, j'étais enfant, mais je me souviens bien de ces histoires.
 
Djamba Yohé,
Gaston-Marie F.
Le Congolais de l'Atlantique Nord,
Ottawa, le 24 mars 2011,
Canada.



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30/03/2011
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